1. Le choix de l'assureur
Vous serez donc lié à un assureur, même si votre argent reste disponible et qu’il est possible d’ouvrir autant de contratsd’assurance-vie que l’on souhaite.
Il est donc essentiel de bénéficier d’une compagnie d’assurance d’envergure.
Le choix du Cabinet Conseil en gestion de patrimoine est lui aussi important. AMIF Patrimoine dispose du statut réglementé de CIF (Conseil en Investissements Financiers), et est enregistré à l’ORIAS en tant que COA (Courtier en Opérations d’Assurances) : deux éléments importants.
2. Le niveau des frais
C’est un point connu mais il est important que vous puissiez avoir un contrat aux frais de versement « bas ». N’hésitez pas à négocier ces frais, quand bien même la qualité du service que vous obtenez grâce à votre Conseiller en Gestion de Patrimoine doit être intégrée dans votre analyse. AMIF Patrimoine pratique une politique de frais parmi les plus bas du marché, tout en tendant à offrir une qualité de suivi d’une grande ambition.
3. La qualité du fonds en Euros
C'est le compartiment « sans risque » de l'assurance-vie, celui choisi à plus de 80 % par les souscripteurs. Même si les rendements des fonds en Euro ont tendance à diminuer depuis quelques années, la bataille fait rage entre les compagnies pour faire partie des meilleurs rendements de l’année. Si vous souhaitez positionner votre épargne sur le fonds Euros, il vous faut analyser sa performance à long terme, et sa régularité. Cela témoigne de qualités de gestion de la part de l'assureur et, en général, d'une bonne solvabilité, qui lui autorise une gestion financière très diversifiée.
4. Les options de diversification
Dans la mesure où le rendement des fonds en euros baisse, de nombreux souscripteurs sont à la recherche de performance plus élevée et diversifient leur épargne sur des supports « en unités de compte » sans garantie (immobilier, actions, obligations, etc.). Le choix de ces unités de compte peut être parfois très limité (certains contrats n'en proposent qu'une seule), ou au contraire très large, avec plusieurs centaines de fonds. Il faut privilégier un contrat ouvert à la « multigestion », qui sélectionne ses supports auprès de différentes maisons, afin de retenir les plus performants. Les contrats de banque sont souvent « monogestion », ce qui peut être analysé comme « limitant » face à l’adage primaire de tout investissement : ne pas mettre tous ces œufs dans le même panier.